Saison 1. Épisode. 13. : Un petit frĂšre pas comme les autres. Doudou-Lapin, le petit frĂšre de Lili-Lapin, n’est pas comme les autres : il a grandi et pourtant on dirait que c’est encore un bĂ©bĂ©. Ce court rĂ©cit est destinĂ© Ă  amuser les enfants avec imagination et fantaisie.

Deux semaines ont passĂ© depuis cette nouvelle qui va peut ĂȘtre changĂ© ma tu es prĂȘte ? -oui nous dirigeames vers la voiture pour nous rendre au rendez-vous qui est rue Emile Zola. Au moment oĂč j'entre dans cet immense bĂątiment j'aperçois pleins de mannequins. Elles sont toutes aussi jolies et grandes les unes que les autres, c'est impressionnant ! Je m'assois Ă  cĂŽtĂ© d'une jolie brune,elle devait avoir entre 12 ou 13 ans. A peine installĂ© le casting commença. Une jeune femme rousse nous expliqua l'enjeu de ce casting trouver la nouvelle Ă©gĂ©rie fĂ©minine de Burberry ! Et cela nous ouvrira de nombreuses portes si nous sommes prise ! Le stresse monte,je me dis que je dois le rĂ©ussir, pour ma mĂšre. Les noms dĂ©filent et les filles se dirigent vers la porte pour passer le casting. "- Mademoiselle Rouset veuillez me suivre s'il vous plaĂźt "Je me lĂšve et je vois que ma voisine de droite me sourie, cela me rassure. Je pars donc direction la porte je l'ouvre et j'aperçois une magnifique piĂšce, avec un bureau, un canapĂ©, une table, des portants de vĂȘtements et accessoires, il y en a partout mais surtout je vois le casteur. Grand, mince, brun, Ă©lĂ©gant. Il est assis sur un chaise en face du bureau avec de nombreuses brochures de magasines. A cĂŽtĂ© se trouve la jeune femme rousse je suppose que c'est son assistante, et ensuite il y'a un photographe derriĂšre son appareil. "- Bonjour messieurs dames dis-je -Bonjour Camille Rousset ? Dit le grand brun - c'est cela -Bien alors veuillez remplir cette feuille et ensuite nous passerons au shoot. Avez-vous dĂ©jĂ  shooter ? -Non monsieur c'est la premiĂšre fois -Je vois "Je remplis la feuille puis je me dirige vers le photographe comme me l'a ordonnĂ© celui-ci."-Bien tu vas t'assoir sur la chaise en me regardant. VoilĂ  parfait, ensuite tu te mets debout et mets les bras en l'air.. Oui c'est Ca, maintenant tourne toi Ă  gauche.. VoilĂ  c'est bien. "Le photographe regarde ses photos puis il dis que cela suffira pour dĂ©partager. L'assistante me dit qu'ils m'appelleront en dĂ©but de semaine prochaine pour me donner le rĂ©sultat. Je pars donc avec le sourire je pense que j'ai bien rĂ©ussi point une premiĂšre fois. Je me dirige vers la porte de sortie quand on m'interpella, je me retourne et vois la fille qui Ă©tais Ă  cĂŽtĂ© de moi tout Ă  l'heure."-salut dit elle -salut je peux t'aider ?-non c'est juste que tu as oubliĂ© ceci dit elle en me tendant mon foulard. -wouah merci beaucoup heu... - Ambre, je m'appelle Ambre et toi ?-Camille enchantĂ© dis-je en lui serrant la mains. - tu a passĂ© le casting toi aussi ?-oui -Ca c'est bien passĂ©e ?-je pense.. Fin je sais pas c'est la premiĂšre fois ..-ouais moi aussi.. Mais moi ça ne s'est pas tres bien passer ... -ah bon pourquoi tu dis Ca ?-il n'avait pas l'aire trĂšs emballĂ© et j'ai mis du temps Ă  faire les poses ..-mais non il ne faut pas que tu dise Ca si faut ils ont adorĂ© et puis ils ne faut qu'il montre leurs sentiments ils doivent rester ! T'inquiĂšte pas Ca va aller-Oui tu as raison .. Merci beaucoup ! A bientĂŽt j'espĂšre !-A bientĂŽt et encore merci pour le foulard !" Je repartis vers chez moi. Ellipse d'une semaine Cela fait plus d'une semaine que j'attends ce coup de file. Je discutais tranquillement avec mon frĂšre nous dĂ©battons sur le sujet de l'euro quand tout Ă  coup le tĂ©lĂ©phone sonna, je courus comme une folle jusqu'a mon portable. Je rĂ©ponds et entends la voix de cette jeune femme rousse qui m'annonce que je devrais passer Ă  l'agence ce matin. J'essayais de dĂ©celer dans sa voix si c'Ă©tait une bonne ou mauvaise nouvelle. Je posa mon portable et partie vers ma chambre pour me prĂ©parer. Je mis un jeans avec des trous au genou ainsi qu'un pull compose clothing. Je prĂ©venu ma mĂšre et mon frĂšre que je partais en direction de l'agence. J'arrive Ă  l'agence, et je vis la rouquine elle me sourit et ce dirigea vers moi"-Bonjour Camille,viens !"Je la suivis et elle me dis rentrer dans le mĂȘme bureau que pour le casting. La je vis le mĂȘme homme que la derniĂšre fois"-Bonjour Camille tu as Ă©tĂ© sĂ©lectionner pour faire le shooting de Burberry. -c'est un trĂšs grand honneur retiens le ! Ne nous déçois pas ! Me dit la rouquine -tu partiras pour Londres le 2 juillet c'est Ă  dire dans deux semaines"Je repartis toute heureuse et appella ma mere "-MAMAN J'AI ÉTÉ SÉLECTIONNER !! -C'EST VRAI ?!??? ma chĂ©rie c'est gĂ©niale ! Tu pars quand ?-Le 2 juillet " Je revenu Ă  la maison "-SIMMOONNNNNNN ! J'ai Ă©tĂ© sĂ©lectionner ! Je pars Ă  Londres dans deux semaines !-Cool -Tu pourrais ĂȘtre content pour moi..."Je partis dans ma chambre appeler ma meilleure voilĂ  un petit chapitre ! Bisous sur vos deux fesses toute rose 🍑PG

Avantde lire le chapitre (Ă  l’oral) : Pourquoi Doudou-Lapin n’est pas un « petit frĂšre comme les autres »? C’est un jeune lapin qui grandit mal, qui reste un bĂ©bĂ©. Il ne parle pas bien, bave, fait des grimaces. Mais il aime les cĂąlins. Il a des petits yeux fendus comme ceux des bĂ©bĂ©s lĂ©zards. Il laisse tomber ses oreilles 149K 17 ~ AVAILABLE ON AMAZON ~ She hated riding the subway. It was cramped, smelled, and the seats were extremely unc... 147M 100 [COMPLETE][EDITING] Ace Hernandez, the Mafia King, known as the Devil. Sofia Diaz, known as an angel. The two are arranged to be married, forced by... 159K 101 ✅ "We always long for the forbidden things." 𝐝đČđŹđ­đšđ©đąđšđ§ đ§đšđŻđžđ„ ↯ ⚔ ʙᎏᎏᎋ ᮏɮᮇ ᮀɮᮅ ᮛᮡᮏ ᎄᎏᎍʙÉȘɮᮇᮅ ⚔ ... 1M 70 after a prank gone terribly wrong, hayden jones is sent across country to caldwell academy, a school for the bitchy, the dangerous and the rebellious... FauxFrĂšre Chapitre 6 est une chanson en Français. (Discussion) Moi j'fais mes bails comme d'habitude. Le rin-te les passes comme d'habitude. J’sors les mĂȘmes phrases comme d'habitude. « Hey boloss tu veux quoi ? » On t'vissĂšre comme d'habitude. Les bougs chipotent, j'espĂšre qu'c'est pas une banane. LE PARRAIN DROSSELMAYER. Il y avait une fois, dans la ville de Nuremberg, un prĂ©sident fort considĂ©rĂ© qu’on appelait M. le prĂ©sident Silberhaus, ce qui veut dire maison d’argent. Ce prĂ©sident avait un fils et une fille. Le fils, ĂągĂ© de neuf ans, s’appelait Fritz. La fille, ĂągĂ©e de sept ans et demi, s’appelait Marie. C’étaient deux jolis enfants, mais si diffĂ©rents de caractĂšre et de visage, qu’on n’eĂ»t jamais cru que c’étaient le frĂšre et la sƓur. Fritz Ă©tait un bon gros garçon, joufflu, rodomont, espiĂšgle, frappant du pied Ă  la moindre contrariĂ©tĂ©, convaincu que toutes les choses de ce monde Ă©taient créées pour servir Ă  son amusement ou subir son caprice, et demeurant dans cette conviction jusqu’au moment oĂč le docteur impatientĂ© de ses cris et de ses pleurs, ou de ses trĂ©pignements, sortait de son cabinet, et, levant l’index de la main droite Ă  la hauteur de son sourcil froncĂ©, disait ces seules paroles — Monsieur Fritz !
 Alors Fritz se sentait pris d’une Ă©norme envie de rentrer sous terre. Quant Ă  sa mĂšre, il va sans dire qu’à quelque hauteur qu’elle levĂąt le doigt ou mĂȘme la main, Fritz n’y faisait aucune attention. Sa sƓur Marie, tout au contraire, Ă©tait une frĂȘle et pĂąle enfant, aux longs cheveux bouclĂ©s naturellement et tombant sur ses petites Ă©paules blanches, comme une gerbe d’or mobile et rayonnante sur un vase d’albĂątre. Elle Ă©tait modeste, douce, affable, misĂ©ricordieuse Ă  toutes les douleurs, mĂȘme Ă  celles de ses poupĂ©es ; obĂ©issante au premier signe de madame la prĂ©sidente, et ne donnant jamais un dĂ©menti mĂȘme Ă  sa gouvernante, mademoiselle Trudchen ; ce qui fait que Marie Ă©tait adorĂ©e de tout le monde. Or, le 24 dĂ©cembre de l’annĂ©e 17
 Ă©tait arrivĂ©. Vous n’ignorez pas, mes petits amis, que le 24 dĂ©cembre est la veille de la NoĂ«l, c’est-Ă -dire du jour oĂč l’enfant JĂ©sus est nĂ© dans une crĂšche, entre un Ăąne et un bƓuf. Maintenant, je vais vous expliquer une chose. Les plus ignorants d’entre vous ont entendu dire que chaque pays a ses habitudes, n’est-ce pas ? et les plus instruits savent sans doute dĂ©jĂ  que Nuremberg est une ville d’Allemagne fort renommĂ©e pour ses joujoux, ses poupĂ©es et ses polichinelles, dont elle envoie de pleines caisses dans tous les autres pays du monde ; ce qui fait que les enfants de Nuremberg doivent ĂȘtre les plus heureux enfants de la terre, Ă  moins qu’ils ne soient comme les habitants d’Ostende, qui n’ont des huĂźtres que pour les regarder passer. Donc, l’Allemagne, Ă©tant un autre pays que la France, a d’autres habitudes qu’elle. En France, le premier jour de l’an est le jour des Ă©trennes, ce qui fait que beaucoup de gens dĂ©sireraient fort que l’annĂ©e commençùt toujours par le 2 janvier. Mais, en Allemagne, le jour des Ă©trennes est le 24 dĂ©cembre, c’est-Ă -dire la veille de la NoĂ«l. Il y a plus, les Ă©trennes se donnent, de l’autre cĂŽtĂ© du Rhin, d’une façon toute particuliĂšre on plante dans le salon un grand arbre, on le place au milieu d’une table, et Ă  toutes ses branches on suspend les joujoux que l’on veut donner aux enfants ; ce qui ne peut pas tenir sur les branches, on le met sur la table ; puis on dit aux enfants que c’est le bon petit JĂ©sus qui leur envoie leur part des prĂ©sents qu’il a reçus des trois rois mages, et, en cela, on ne leur fait qu’un demi-mensonge, car, vous le savez, c’est de JĂ©sus que nous viennent tous les biens de ce monde. Je n’ai pas besoin de vous dire que, parmi les enfants favorisĂ©s de Nuremberg, c’est-Ă -dire parmi ceux qui Ă  la NoĂ«l recevaient le plus de joujoux de toutes façons, Ă©taient les enfants du prĂ©sident Silberhaus ; car, outre leur pĂšre et leur mĂšre qui les adoraient, ils avaient encore un parrain qui les adorait aussi et qu’ils appelaient parrain Drosselmayer. Il faut que je vous fasse en deux mots le portrait de cet illustre personnage, qui tenait dans la ville de Nuremberg une place presque aussi distinguĂ©e que celle du prĂ©sident Silberhaus. Parrain Drosselmayer, conseiller de mĂ©decine, n’était pas un joli garçon le moins du monde, tant s’en faut. C’était un grand homme sec, de cinq pieds huit pouces, qui se tenait fort voĂ»tĂ©, ce qui faisait que, malgrĂ© ses longues jambes, il pouvait ramasser son mouchoir, s’il tombait Ă  terre, presque sans se baisser. Il avait le visage ridĂ© comme une pomme de reinette sur laquelle a passĂ© la gelĂ©e d’avril. À la place de son Ɠil droit Ă©tait un grand emplĂątre noir ; il Ă©tait parfaitement chauve, inconvĂ©nient auquel il parait en portant une perruque gazonnante et frisĂ©e, qui Ă©tait un fort ingĂ©nieux morceau de sa composition fait en verre filĂ© ; ce qui le forçait, par Ă©gard pour ce respectable couvre-chef, de porter sans cesse son chapeau sous le bras. Au reste, l’Ɠil qui lui restait Ă©tait vif et brillant, et semblait faire non seulement sa besogne, mais celle de son camarade absent, tant il roulait rapidement autour d’une chambre dont parrain Drosselmayer dĂ©sirait d’un seul regard embrasser tous les dĂ©tails, ou s’arrĂȘtait fixement sur, les gens dont il voulait connaĂźtre les plus profondes pensĂ©es. Or, le parrain Drosselmayer qui, ainsi que nous l’avons dit, Ă©tait conseiller de mĂ©decine, au lieu de s’occuper, comme la plupart de ses confrĂšres, Ă  tuer correctement, et selon les rĂšgles, les gens vivants, n’était prĂ©occupĂ© que de rendre, au contraire, la vie aux choses mortes, c’est-Ă -dire qu’à force d’étudier le corps des hommes et des animaux, il Ă©tait arrivĂ© Ă  connaĂźtre tous les ressorts de la machine, si bien qu’il fabriquait des hommes qui marchaient, qui saluaient, qui faisaient des armes ; des dames qui dansaient, qui jouaient du clavecin, de la harpe et de la viole ; des chiens qui couraient, qui rapportaient et qui aboyaient ; des oiseaux qui volaient, qui sautaient et qui chantaient ; des poissons qui nageaient et qui mangeaient. Enfin, il en Ă©tait mĂȘme venu Ă  faire prononcer aux poupĂ©es et aux polichinelles quelques mots peu compliquĂ©s, il est vrai, comme papa, maman, dada ; seulement, c’était d’une voix monotone et criarde qui attristait, parce qu’on sentait bien que tout cela Ă©tait le rĂ©sultat d’une combinaison automatique, et qu’une combinaison automatique n’est toujours, Ă  tout prendre, qu’une parodie des chefs-d’Ɠuvre du Seigneur. Cependant, malgrĂ© toutes ces tentatives infructueuses, parrain Drosselmayer ne dĂ©sespĂ©rait point et disait fermement qu’il arriverait un jour Ă  faire de vrais hommes, de vrais femmes, de vrais chiens, de vrais oiseaux et de vrais poissons. Il va sans dire que ses deux filleuls, auxquels il avait promis ses premiers essais en ce genre, attendaient ce moment avec une grande impatience. On doit comprendre qu’arrivĂ© Ă  ce degrĂ© de science en mĂ©canique, parrain Drosselmayer Ă©tait un homme prĂ©cieux pour ses amis. Aussi une pendule tombait-elle malade dans la maison du prĂ©sident Silberhaus, et, malgrĂ© le soin des horlogers ordinaires, ses aiguilles venaient-elles Ă  cesser de marquer l’heure ; son tic-tac, Ă  s’interrompre ; son mouvement, Ă  s’arrĂȘter ; on envoyait prĂ©venir le parrain Drosselmayer, lequel arrivait aussitĂŽt tout courant, car c’était un artiste ayant l’amour de son art, celui-lĂ . Il se faisait conduire auprĂšs de la morte qu’il ouvrait, Ă  l’instant mĂȘme, enlevant le mouvement qu’il plaçait entre ses deux genoux ; puis alors, la langue passant par un coin de ses lĂšvres, son Ɠil unique brillant comme une escarboucle, sa perruque de verre posĂ©e Ă  terre, il tirait de sa poche une foule de petits instruments sans nom, qu’il avait fabriquĂ©s lui-mĂȘme et dont lui seul connaissait la propriĂ©tĂ©, choisissait les plus aigus, qu’il plongeait dans l’intĂ©rieur de la pendule, acuponcture qui faisait grand mal Ă  la petite Marie, laquelle ne pouvait croire que la pauvre horloge ne souffrĂźt pas de ces opĂ©rations, mais qui, au contraire, ressuscitait la gentille trĂ©panĂ©e, qui, dĂšs qu’elle Ă©tait replacĂ©e dans son coffre, ou entre ses colonnes, ou sur son rocher, se mettait Ă  vivre, Ă  battre et Ă  ronronner de plus belle ; ce qui rendait aussitĂŽt l’existence Ă  l’appartement, qui semblait avoir perdu son Ăąme en perdant sa joyeuse pensionnaire. Il y a plus sur la priĂšre de la petite Marie, qui voyait avec peine le chien de la cuisine tourner la broche, occupation trĂšs fatigante pour le pauvre animal, le parrain Drosselmayer avait consenti Ă  descendre des hauteurs de sa science pour fabriquer un chien automate, lequel tournait maintenant la broche sans aucune douleur ni aucune convoitise, tandis que Turc, qui, au mĂ©tier qu’il avait fait depuis trois ans, Ă©tait devenu trĂšs frileux, se chauffait en vĂ©ritable rentier le museau et les pattes, sans avoir autre chose Ă  faire que de regarder son successeur, qui, une fois remontĂ©, en avait pour une heure Ă  faire sa besogne gastronomique sans qu’on eĂ»t Ă  s’occuper seulement de lui. Aussi, aprĂšs le prĂ©sident, aprĂšs la prĂ©sidente, aprĂšs Fritz et aprĂšs Marie, Turc Ă©tait bien certainement l’ĂȘtre de la maison qui aimait et vĂ©nĂ©rait le plus le parrain Drosselmayer, auquel il faisait grande fĂȘte toutes les fois qu’il le voyait arriver, annonçant mĂȘme quelquefois, par ses aboiements joyeux et par le frĂ©tillement de sa queue, que le conseiller de mĂ©decine Ă©tait en route pour venir, avant mĂȘme que le digne parrain eĂ»t touchĂ© le marteau de la porte. Le soir donc de cette bien heureuse veille de NoĂ«l, au moment oĂč le crĂ©puscule commençait Ă  descendre, Fritz et Marie, qui, de toute la journĂ©e, n’avaient pu entrer dans le grand salon d’apparat, se tenaient accroupis dans un petit coin de la salle Ă  manger. Tandis que mademoiselle Trudchen, leur gouvernante, tricotait prĂšs de la fenĂȘtre, dont elle s’était approchĂ©e pour recueillir les derniers rayons du jour, les enfants Ă©taient pris d’une espĂšce de terreur vague, parce que, selon l’habitude de ce jour solennel, on ne leur avait pas apportĂ© de lumiĂšre ; de sorte qu’ils parlaient bas comme on parle quand on a un petit peu peur. — Mon frĂšre, disait Marie, bien certainement papa et maman s’occupent de notre arbre de NoĂ«l ; car, depuis le matin, j’entends un grand remue-mĂ©nage dans le salon, oĂč il nous est dĂ©fendu d’entrer — Et moi, dit Fritz, il y a dix minutes Ă  peu prĂšs que j’ai reconnu, Ă  la maniĂšre dont Turc aboyait, que le parrain Drosselmayer entrait dans la maison. — Ô Dieu ! s’écria Marie en frappant ses deux petites mains l’une contre l’autre, que va-t-il nous apporter, ce bon parrain ? Je suis sĂ»re, moi, que ce sera quelque beau jardin tout plantĂ© d’arbres, avec une belle riviĂšre qui coulera sur un gazon brodĂ© de fleurs. Sur cette riviĂšre, il y aura des cygnes d’argent avec des colliers d’or, et une jeune fille qui leur apportera des massepains qu’ils viendront manger jusque dans son tablier. — D’abord, dit Fritz, de ce ton doctoral qui lui Ă©tait particulier, et que ses parents reprenaient en lui comme un de ses plus graves dĂ©fauts, vous saurez, mademoiselle Marie, que les cygnes ne mangent pas de massepains. — Je le croyais, dit Marie ; mais, comme tu as un an et demi de plus que moi, tu dois en savoir plus que je n’en sais. Fritz se rengorgea. — Puis, reprit-il, je crois pouvoir dire que, si parrain Drosselmayer apporte quelque chose, ce sera une forteresse, avec des soldats pour la garder, des canons pour la dĂ©fendre, et des ennemis pour l’attaquer ; ce qui fera des combats superbes. — Je n’aime pas les batailles, dit Marie. S’il apporte une forteresse, comme tu le dis, ce sera donc pour toi ; seulement, je rĂ©clame les blessĂ©s pour en avoir soin. — Quelque chose qu’il apporte, dit Fritz, tu sais bien que ce ne sera ni pour toi ni pour moi, attendu que, sous le prĂ©texte que les cadeaux de parrain Drosselmayer sont de vrais chefs-d’Ɠuvre, on nous les reprend aussitĂŽt qu’il nous les a donnĂ©s, et qu’on les enferme tout au haut de la grande armoire vitrĂ©e oĂč papa seul peut atteindre, et encore en montant sur une chaise, ce qui fait, continua Fritz, que j’aime autant et mĂȘme mieux les joujoux que nous donnent papa et maman, et avec lesquels on nous laisse jouer au moins jusqu’à ce que nous les ayons mis en morceaux, que ceux que nous apporte le parrain Drosselmayer. — Et moi aussi, rĂ©pondit Marie ; seulement, il ne faut pas rĂ©pĂ©ter ce que tu viens de dire au parrain. — Pourquoi ? — Parce que cela lui ferait de la peine que nous n’aimassions pas autant ses joujoux que ceux qui nous viennent de papa et de maman ; il nous les donne, pensant nous faire grand plaisir, il faut donc lui laisser croire qu’il ne se trompe pas. — Ah bah ! dit Fritz. — Mademoiselle Marie a raison, monsieur Fritz, dit mademoiselle Trudchen, qui, d’ordinaire, Ă©tait fort silencieuse et ne prenait la parole que dans les grandes circonstances. — Voyons, dit vivement Marie pour empĂȘcher Fritz de rĂ©pondre quelque impertinence Ă  la pauvre gouvernante, voyons, devinons ce que nous donneront nos parents. Moi, j’ai confiĂ© Ă  maman, mais Ă  condition qu’elle ne la gronderait pas, que mademoiselle Rose, ma poupĂ©e, devenait de plus en plus maladroite, malgrĂ© les sermons que je lui fais sans cesse, et n’est occupĂ©e qu’à se laisser tomber sur le nez, accident qui ne s’accomplit jamais sans laisser des traces trĂšs dĂ©sagrĂ©ables sur son visage ; de sorte qu’il n’y a plus Ă  penser Ă  la conduire dans le monde, tant sa figure jure maintenant avec ses robes. — Moi, dit Fritz, je n’ai pas laissĂ© ignorer Ă  papa qu’un vigoureux cheval alezan ferait trĂšs bien dans mon Ă©curie ; de mĂȘme que je l’ai priĂ© d’observer qu’il n’y a pas d’armĂ©e bien organisĂ©e sans cavalerie lĂ©gĂšre, et qu’il manque un escadron de hussards pour complĂ©ter la division que je commande. À ces mots, mademoiselle Trudchen jugea que le moment convenable Ă©tait venu de prendre une seconde fois la parole. — Monsieur Fritz et mademoiselle Marie, dit-elle, vous savez bien que c’est l’enfant JĂ©sus qui donne et bĂ©nit tous ces beaux joujoux qu’on vous apporte. Ne dĂ©signez donc pas d’avance ceux que vous dĂ©sirez, car il sait mieux que vous-mĂȘmes ceux qui peuvent vous ĂȘtre agrĂ©ables. — Ah ! oui, dit Fritz, avec cela que, l’annĂ©e passĂ©e, il ne m’a donnĂ© que de l’infanterie quand, ainsi que je viens de le dire, il m’eĂ»t Ă©tĂ© trĂšs agrĂ©able d’avoir un escadron de hussards. — Moi, dit Marie, je n’ai qu’à le remercier, car je ne demandais qu’une seule poupĂ©e, et j’ai encore eu une jolie colombe blanche avec des pattes et un bec roses. Sur ces entrefaites, la nuit Ă©tant arrivĂ©e tout Ă  fait, de sorte que les enfants parlaient de plus bas en plus bas, et qu’ils se tenaient toujours plus rapprochĂ©s l’un de l’autre, il leur semblait autour d’eux sentir les battements d’ailes de leurs anges gardiens tout joyeux, et entendre dans le lointain une musique douce et mĂ©lodieuse comme celle d’un orgue qui eĂ»t chantĂ©, sous les sombres arceaux d’une cathĂ©drale, la nativitĂ© de Notre-Seigneur. Au mĂȘme instant, une vive lueur passa sur la muraille, et Fritz et Marie comprirent que c’était l’enfant JĂ©sus qui, aprĂšs avoir dĂ©posĂ© leurs joujoux dans le salon, s’envolait sur un nuage d’or vers d’autres enfants qui l’attendaient avec la mĂȘme impatience qu’eux. AussitĂŽt une sonnette retentit, la porte s’ouvrit avec fracas, et une telle lumiĂšre jaillit de l’appartement, que les enfants demeurĂšrent Ă©blouis, n’ayant que la force de crier — Ah ! ah ! ah ! Alors le prĂ©sident et la prĂ©sidente vinrent sur le seuil de la porte, prirent Fritz et Marie par la main. — Venez voir, mes petits amis, dirent-ils, ce que l’enfant JĂ©sus vient de vous apporter. Les enfants entrĂšrent aussitĂŽt dans le salon, et mademoiselle Trudchen, ayant posĂ© son tricot sur la chaise qui Ă©tait devant elle, les suivit. Chapitre1: Une Convocation Royale Pourtant, quand mon frĂšre les a dĂ©sespĂ©rĂ©ment suppliĂ©s comme si sa vie en dĂ©pendait, nos parents ont acceptĂ© de nous fournir un hĂ©bergement dans le voisinage du festival pour toute sa durĂ©e, mais ce n’était pas encore assez Eh bien, pour subvenir Ă  nos besoins, on n’a pas eu d’autre choix que d’apprendre Ă  surveiller notre
278K 23 Alexander Vintalli is one of the most ruthless mafias of America. His name is feared all over America. The way people fear him and the way he has his... 6M 167K 57 ⭐ ᎛ʜᎇ ᎍᎏꜱ᎛ ʀᎇᎀᎅ ꜱ᎛ᎀʀ áŽĄáŽ€Ê€êœ± ꜰᎀɎꜰÉȘᮄᮛÉȘᎏɎ ᎏɎ ᮡᮀᮛᮛᮘᮀᮅ ⭐ ʜÉȘÉąÊœáŽ‡êœ±áŽ› ʀᎀɎᎋÉȘÉŽÉąêœ± ꜱᎏ ꜰᎀʀ 1 ÉȘÉŽ ꜱ᎛ᎀʀ áŽĄáŽ€Ê€êœ± 2017 1 ÉȘÉŽ ᎋʏʟᎏ 2021 1 IN KYLOREN 2015-2022 13... 3 *Wattys 2018 Winner / Hidden Gems* CREATE YOUR OWN MR. RIGHT Weeks before Valentine's, seventeen-year-old Kate Lapuz goes through her first ever br... 159K 101 ✅ "We always long for the forbidden things." 𝐝đČđŹđ­đšđ©đąđšđ§ đ§đšđŻđžđ„ ↯ ⚔ ʙᎏᎏᎋ ᮏɮᮇ ᮀɮᮅ ᮛᮡᮏ ᎄᎏᎍʙÉȘɮᮇᮅ ⚔ ...
IlĂ©tait l’heure ! L’heure de rentrer chez moi avec mes deux enfants, Yan (6 ans) et Halia (4 ans). J’avais passĂ© la journĂ©e chez ma sƓur jumelle. Elle a trois jolies princesses, Alice (7 ans), Aria (5 ans) et AnaĂ«lle (3ans). De vrais amours. Les enfants avaient besoin de se voir et j’avais besoin de changer d’air. Il y a trois mois que mon divorce a []
Je venais de remonter le temps, je n'en revenais pas. Moi, Capucine, je venais grĂące Ă  ce livre de faire un bond de douze ans en arriĂšre. Mais que va t-il se passer ? Que suis-je censĂ©e faire ? Y'a t'il des rĂšgles ? Je suis perdue... Je me retrouve dans un monde qui m'est plus que souvenir, si flou que ma mĂ©moire ne se retrouve plus, et les peu d'Ă©lĂ©ments qui me reviennent sont si vague... Mais quelle nostalgie ! Cette salle de classe, ce bureau oĂč je m'asseyais, ce soleil radieux qui n'Ă©tait pas gĂȘnĂ© par la pollution actuelle. Je me perdais dans mes pensĂ©es, dans mes souvenirs quand soudain la porte s'entrouvrit et une dame entra tout en disant - Les enfants, voici votre salle de classe durant tout votre annĂ©e scolaire, vous verrez sur vos bureaux des... Elle interrompit sa phrase aussitĂŽt qu'elle me vit dans cette mĂȘme salle et m'adressa la parole. Je ne l'entendais pas, du moins je ne faisais pas attention, je restais la bouche grande ouverte, Ă  contempler ce monde que j'ai connu jadis. Puis des sons me parvint dans mon oreille - Mademoiselle, Mademoiselle ? Qui ĂȘtes-vous et que faĂźtes-vous ici ? Je me retourna, me ressaisissant aprĂšs l'avoir entendu - Oui excusez-moi... Je suis Capu... euh non pardon, je m'appelle Julie ! disais-je en essayant de prendre le maximum d'assurance pour ĂȘtre crĂ©dible et ne pas rĂ©vĂ©ler mon identitĂ©. - Et que faĂźtes-vous ici Ă  cette heure-ci ? Vous faĂźtes partie du personnel ? - Ah euh, non non, je me suis Ă©garĂ©e... Disais-je tout en baissant la tĂȘte et sortant de la salle, prĂ©sentant mes excuses, quand je franchis la porte, je me vis... C'Ă©tait moi, devant moi, sans miroir, sans photo, je ne rĂȘvais pas, cette petite fille avec des chaussures roses toute mignonne que je voulais absolument Ă  l'Ă©poque, et ce cartable Diddle que j'aimais plus que tout, pas de doute, c'Ă©tait moi il y a douze ans. C'Ă©tait incroyable ! Je me suis figĂ©e, comme si le temps s'Ă©tait arrĂȘtĂ©. J'Ă©tais si innocente et je semblais si gentille Ă  l'Ă©poque. Pourquoi diable ais-je changĂ© ?! La moi d'il y a douze ans s'arrĂȘta elle aussi et me fixa avec insistance, elle semblait troublĂ©e... Afin d'Ă©viter un quelconque rapprochement je me retourna pour sortir de l'Ă©cole, et je vis... Slevin. Il se tenait derriĂšre moi, tout aussi troublĂ©, et semblait aussi me fixer... J'avais peur, peur qu'ils ne remarquent ma veritable identitĂ©... Mais c'est alors que je compris que ce n'Ă©tait pas moi qui Ă©tait la cible de leurs regards assassins, Ă  l'Ă©poque, je fus troublĂ©e par ce garçon, pour qui, dĂšs ce premier instant, j'avais des mis les voiles, le sourire aux levres en voyant cette si belle scĂšne "coup de foudre", et en sortant je rĂ©alisais que je me retrouvais seule, lĂąchĂ©e dans une ville sans aucun repĂšre, sans argent, sans endroit ou dormir, sans amis, sans rien. Comment survivre ? Je devais trouver une solution rapidemment, et c'est en pregardant le livre que je tenais dans les mains que je me suis dit qu'il y a douze ans, donc dans le monde oĂč je me trouve, Mathis et son frĂšre sont surement encore en vie. Peut-ĂȘtre devrais-je aller les voir et leur expliquer ma situation !Mais ce livre n'etait pas ecrit il y a douze ans, fin pas ecrit puisqu'il est theoriquement "vide" mais il n'Ă©tait pas paru, edite, voire mĂȘme pas pensĂ©. En mĂȘme temps, c'est ma derniĂšre et unique chance de m'en sortir, je n'ai plus vraiment le choix...Par chance, je me souvins que j'avais gardĂ© que je m'Ă©tais procurĂ©e Ă  la bibliotĂšque sur lequel figure l'adresse de Mathis. Je prie maintenant qu'ils habitaient lĂ -bas, douze ans pris les transports en commun, et me rendis dans l'immeuble oĂč j'Ă©tais allĂ©e quelques heures auparavant Ă  mon Ă©poque. C'est fou de voir les changements que le temps a opĂ©rĂ© sur les gens, les coutumes, les mentalitĂ©s et le paysage. Ce monde lĂ  semblait si calme et reposant, non empestĂ© par cette pollution et ces cons qui envahissent nos rues le soirs... Si mes souvenirs sont bons, je dois aller au 4Ăšme Ă©tage... Je pris l'ascenceur quand soudain, un pied surgit pour bloquer la porte qui se fermait petit Ă  petit. CoĂŻncidence ou pas, cette situation ressemblait Ă  celle que j'ai vecu au meme endroit douze ans plus porte se rĂ©ouvrit et un homme plutot petit, qui semblait calme et reservĂ©, entra dans l'ascenceur. Son visage m'Ă©tait famillier, il ressemblait Ă  l'homme qui m'a donnĂ© ce livre, le frĂšre de Mathis. Je me permis de lui demander son Ă©tage, et il me repondit qu'il allait au 4Ăšme, comme je m'y attendais. Au dĂ©but, j'hesitais, j'Ă©tais nerveuse, j'Ă©tais bloquĂ©e, ne pouvant faire le premier pas... Mais bon, c'est mieux d'avoir des remords que des regrets !- Vous ĂȘtes Mathis Cherving ?Il me regarda avec frayeur, tremblant de tout son corps, il bafouilla un mince son de voix me repondant - oui, que ?- N'ayez pas peur, je m'appelle Capucine, j'ai 18 ans et j'ai a tout prix besoin de vous Euh.. oui comme vous voudrez... Je m'installais dans son salon, et afin de briser le silence pesant, entre sa crainte et ma nervositĂ©, il me dit - Comment avez vous su qui j'Ă©tais ?- Vous ressemblez trait pour trait Ă  votre Vous connaissez mon frĂšre ?- Comment dire, c'est compliquĂ© et vous n'allez sĂ»rement pas me croire, mais c'est justement l'objet de ma venue ici. Vous voyez le livre que je tiens, il est Ă  votre nom, vous l'avez Ă©crit. - Vous mentez je n'ai jamais Ă©crit de livre ! Je suis en pleine recherche sur mon premier ouvrage mais je n'ai jamais ecrit ce livre !- Aujourd'hui oui, mais dans douze ans, vous aurez publiĂ© ce livre. Votre projet ne consisterait pas a remonter le temps ?Il Ă©tait surpris. - Comment etes vous au courant je n'en ai parlĂ© a personne, pas meme mon frere !- Vous ne comprenez pas ? Je viens d'une Ă©poque ulterieure, plus precisemment de douze ans, je suis arrivĂ©e dans ce monde grĂące Ă  votre livre...C'est yeux brillaient, il n'en revenait pas... Ce livre est... mon livre ? J'ai vraiment rĂ©ussi Ă  faire cela ? - Visiblement oui, lui lachais_je avec un air moqueur. Il avait les larmes aux yeux... C'Ă©tait Ă©mouvant. Il repris ses esprits et me regarda, il ne tremblait plus, comme s'il avait de nouveau pris confiance en lui ! Il me posa quelques questions - Suis je connu grace a ce livre ? S'est-il bien vendu ?- A mon epoque... vous ĂȘtes dĂ©cedĂ©...
Unmail comme une bouteille Ă  la mer. D'ordinaire, l'Ă©crivain Pierre-Marie Sotto ne rĂ©pond jamais aux courriers d'admirateurs. Mais cette Adeline Parmelan n'est pas une " lectrice comme les autres ". Quelque chose dans ses phrases, peut-ĂȘtre, et puis il y a cette Ă©paisse et mystĂ©rieuse enveloppe qu'elle lui a fait parvenir - et qu'il n'ose pas ouvrir. Entre le prix Goncourt et la jeune
Voila l’épisode d'aujourd'hui j’espĂšre qu'il vas vous plaire ^^Le petit groupe passa devant un tronc d’arbre pencher sur le cĂŽtĂ©, avec du lierre tout autour. Les chatons voulaient jouer. Et d’un coup une jeune chatte blanche, plus petite qu’une guerriĂšre mais plus grande que les chatons, s’ortie on trombe de sous les lierres et en nous voyant elle pila nette. Et elle dit Hooo qu’ils sont choux, je peux leur parlers et les touchers un dit tata dit » Oui, vas-y mais je pense que tu leur as fait peux en arrivent en plus tu n’as mĂȘme pas attrapĂ© cette souris »RĂ©pondit Plume Brillante, et elle enchaina Voici votre cousine elle s’appelle Nuage d’orĂ©e, et elle est apprentie guerriĂšre, elle ne va vous faire de mal mais elle n’as pas de frĂšre ou de sƓur, alors bas 
.. Elle aime bien coller les chats » Haaaa »Dire en cƓur les deux sƓurs, Elles ont trop de chance elle au moins elles ont une vraie famille et pas juste un frĂšre, une mĂšre et des amies »Se dis Petite NĂ©nuphar coupas la scĂšne et dit Allez ont vas soigner cette oreille ou pas »Il avait l’aire du mĂȘme avis que son frĂšre !Il n’y avait pas d’autre taniĂšre entre celle des apprenties et celle de leur guĂ©risseur. Et les deux frĂšres en Ă©taient bien contents.Devant la taniĂšre LumiĂšre de L’aube dĂ©cida que tout le monde ne pouvais pas entrer, et qu’il ne pourrait emmener que deux chatons avec lui. Puis les deux autres iront avec leur mĂšre !Sa sera les deux sƓurs et voilĂ  tousSe dit Petite Ă  sa grande surprise c’est Petite LumiĂšre et lui qui entras les premier. Il pensa Il est trop gentille j’aimerais qu’il soit mon mentorQuand il rentra il faille suffoquer SA SENS LE RENFERMER J’AIME PAS »Cria Petite Grenouille. Et il repartie, LumiĂšre de L’aube demanda Ă  sa fille de rester le temps qu’il rĂ©sous se problĂšme, et il partit .Petite LumiĂšre regarda autour d’elle, et vue des plantes de toute forme, de toute les couleurs, et plein de parfum en mĂȘme temps comme le soleil et la lune mĂ©langer, ou l’étĂ© et l’hiver. Un petit WAOU »Lui Ă©chappa, elle Ă©tait Ă©merveiller par tous, OUI tous se quelle voyais ! Je voudrais ĂȘtre guĂ©risseuse »Dit-elle en chuchotent. Je l’espĂšre bien ma petite car tu as du chemin Ă  faire, viens je vais te montrer quelque chose »
Ila remarquĂ©, que depuis 1 an, Bella ne va pas bien mais comme elle ne veut rien dire, il ne la questionne pas plus qu'il faut. Il a quand mĂȘme demandĂ© Ă  Edward de voir avec elle mais tout comme avec Emmet, elle ne dit rien. Alice s'inquiĂšte de sa petite soeur car elle est de plus renfermĂ© sur elle-mĂȘme. Elle ne se confie plus Ă  elle
Matybon 20 octobre 2016 Ă  20 h 56 min GĂ©nial,mais contrairement Ă  ce que cette personne demande,je te conseille de regarder la 3Ăšme ligne avant la fin du paragraphe sur Jadina,c’est mignon comme petite surprise ! ^-^
O1ZS.
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  • un petit frĂšre pas comme les autres chapitre 1