Lamort dun chien Victor Hugo Un groupe tout à l'heure était là sur la grève, Regardant quelque chose à terre. - Un chien qui crève ! M'ont crié des enfants ; voilà tout ce que c'est. - Et j'ai vu sous leurs pieds un vieux chien qui gisait. L'océan lui jetait l'écume de ses lames. - Voilà trois jours qu'il est ainsi, disaient des femmes, On a beau lui parler, il n'ouvre
Lamort. Le prodige de ce grand départ céleste, qu'on appelle la mort, c'est que ceux qui partent ne s'éloignent point. Ils sont dans un monde de clarté, mais ils assistent, témoins attendris, à notre monde de ténèbres. Ils sont en haut et tout près. Oh ! Qui que vous soyez, qui avez vu s'évanouir dans la tombe un être cher, ne vous croyez pas quittés par lui. Il est à côté de
Cepoème se situe après la rupture marquée par une ligne de points entre le poème II, « le 15 février 1843 » et le III « trois ans après » qui symbolise la mort de Léopoldine. C’est un poème en quatre strophes de six vers composées en deux alexandrins, un sizain puis deux alexandrins et un sizain. Les rimes suivent le schéma
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