RĂȘverde saluer un inconnu ou une inconnue, annonce la traverser de difficultĂ©s. Refuser de saluer le prĂ©sident de la rĂ©publique dans votre sommeil, est le signe avant-coureur que vos plans seront menacĂ©s par des problĂšmes difficiles Ă  rĂ©soudre. Le rĂȘve de saluer un mort pour une personne en bonne santĂ©, prĂ©vient qu'elle ne doit Le Parisien et le Point, par leurs articles rĂ©cents sur la protection dont bĂ©nĂ©ficient les anciens PrĂ©sidents et, de ce fait, Sarkozy en particulier au Cap NĂšgre, ont remis sur le tapis le statut et les conditions matĂ©rielles accordĂ©es aux anciens prĂ©sidents de la RĂ©publique ; leur protection est toutefois le moins important et le moins illĂ©gitime des multiples et immenses privilĂšges, pour la plupart injustifiĂ©s, qu'on leur accorde!Sarkozy bĂ©nĂ©ficie, pour sa seule protection personnelle, de dix policiers du SPHP ; Chirac se contente, lui, de huit et Giscard d'Estaing de six. Ces informations ont fait quelque bruit dans la presse il est vrai que nous sommes en aoĂ»t et que l'information est Ă  son Ă©tiage !, alors que Mazarine Pingeot a bĂ©nĂ©ficiĂ©, sans aucun titre, pendant plus de dix ans et sans que nul n'en parle et donc ne s'en offusque, d'un service de sĂ©curitĂ© plus important encore, sans y avoir en outre le moindre la chasse aux rĂ©gimes spĂ©ciaux de retraite naguĂšre entreprise sans grand effet d'ailleurs et qui prochainement va rĂ©-ouvrir, en septembre 2013, il en est un, trĂšs "spĂ©cial", qu'on a oubliĂ© et sur lequel RenĂ© DoziĂšre, le trouble fĂȘte des sinĂ©cures d'Etat, a Ă©tĂ© presque le seul Ă  attirer naguĂšre l'attention. DĂ©putĂ© PS de l'Aisne et auteur sulfureux de L'argent et l'État, voilĂ  un homme qui ne doit pas ĂȘtre plus populaire auprĂšs de ses collĂšgues du Palais Bourbon qu'il ne l'est rue de SolfĂ©rino puisque lors des derniĂšres lĂ©gislatives, le PS lui a refusĂ© l'investiture ! Comme les rapports de la Cour des Comptes, dont il doit ĂȘtre un lecteur assidu et vigilant, ses Ă©crits fournissent en effet, Ă  chaque parution, une matiĂšre abondante Ă  la presse française, mĂȘme si souvent ils contiennent des informations que les journalistes pourraient trouver par ailleurs eux-mĂȘmes, s'ils se donnaient le mal de les chercher, ce qui suppose toutefois, prĂ©alablement, qu'ils aient dĂ©jĂ  l'idĂ©e de le faire. En la circonstance, on peut Ă©videmment chercher dans les travaux de RenĂ© DoziĂšre des Ă©lĂ©ments sur les PrĂ©sidents de la RĂ©publique en retraite ; le mandat de Nicolas Sarkozy Ă©tait arrivĂ© Ă  son terme, un peu contre son grĂ©, sans pour autant qu'il puisse, le pauvre, vu son Ăąge, toucher, tout de suite, sa retraite de prĂ©sident, comme on va le voir, mĂȘme s'il a dĂ©jĂ  tous les avantages en nature de cet Ă©tat !Le plus drĂŽle, dans cette affaire, est l'Ă©trange histoire de ce rĂ©gime de faveur des prĂ©sidents honoraires. Les anciens PrĂ©sidents de la RĂ©publique encore vivants et leurs veuves Ă©ventuelles comme on le verra devraient adresser, en signe de reconnaissance, leurs remerciements communs Ă  Laurent Fabius qui, le 8 janvier 1985, saisi d'on ne sait quelle inspiration subite a Ă©crit, en tant que Premier Ministre, Ă  ValĂ©ry Giscard d'Estaing pour modifier trĂšs sensiblement, de son propres chef, le sort des PrĂ©sidents de la RĂ©publique en retraite ou, en tout cas, leur rĂ©munĂ©ration et les avantages dont ils peuvent jouir. Toutefois, comme R. DoziĂšre le souligne, le fondement juridique d'une telle rĂ©forme est des plus fragiles voire douteux ; il ne s'agit, en somme, que d'un courrier personnel », restĂ© secret et donc ignorĂ© des annĂ©es durant, ce qui fait que l'on peut s'interroger sur la valeur dĂ©cisionnelle d'une telle peut d'ailleurs observer, au passage, une fois de plus, Ă  quel point Laurent Fabius est toujours avisĂ© et prĂ©voyant. On se souvient qu'il avait su penser Ă  son papa et Ă  sa famille les Fabius sont "marchands d'art" depuis deux empires et trois rĂ©publiques quand fut dĂ©fini le statut fiscal particulier des oeuvres d'art, Ă©pargnĂ©es de façon curieuse et inattendue, par l'impĂŽt sur la fortune alors créé. Ce point devait assurĂ©ment moins prĂ©occuper le Premier Ministre "Gros Quinquin" que L. Fabius qui en 1982 Ă©tait son ministre des finances! En Ă©crivant cette lettre Ă  Giscard trois ans plus tard, c'Ă©tait en rĂ©alitĂ© Ă  lui-mĂȘme qu'il songeait d'abord et surtout. En effet, en tant que "plus jeune Premier Ministre" de notre histoire, la voie de l'ElysĂ©e lui semblait en effet, inĂ©vitablement ouverte et, en feignant de se pencher sur le sort de VGE et de Tonton, c'Ă©tait surtout son propre avenir qu'il prĂ©parait en tant que probable futur ancien PrĂ©sident de la toujours en ces lieux, je vous la fais courte et je vais au fait. Un PrĂ©sident de la RĂ©publique en retraite nous coĂ»te, Ă  la louche grande, je vous l'accorde deux millions d'euros par an, Ă  la charge du contribuable bien entendu. On peut observer qu'une vraie sagesse rĂ©publicaine et un juste souci des finances publiques conduiraient Ă  n'Ă©lire que des prĂ©sidents au moins septuagĂ©naires, Ă©ventuellement mĂȘme octogĂ©naires et si possible Ă©grotants. La tendance actuelle paraĂźt toute autre puisque ce sont dĂ©sormais des quadragĂ©naires pleins de santĂ© qui en rĂȘvent et des quinquagĂ©naires qu'on choisit, sans se prĂ©occuper, le moins du monde, du coĂ»t prolongĂ© qu'ils reprĂ©senteront, dans la suite, pour la est vrai qu'il faut distinguer sur ce point d'une part les avantages en nature qui leur sont attribuĂ©s dĂšs leur sortie de charge et, d'autre part, la retraite proprement dite, somme toute modeste, qui ne leur est versĂ©e qu'Ă  partir du moment oĂč ils atteignent l'Ăąge de 60 ans. RĂ©gime spĂ©cial pour ces veinards qui apparemment ne seront pas astreints aux 62 ou bientĂŽt 65 ans qui guettent le commun des travailleurs. La retraite proprement dite, une pension en fait, est celle d'un conseiller d'Etat ; elle est donc modeste 5250 € par mois, 63 000 € par an, mais elle offre toutefois la possibilitĂ© trĂšs frĂ©quente de pouvoir ĂȘtre cumulĂ©e avec d'autres retraites d'oĂč les euros mensuels des deux autres retraitĂ©s actuels ; le cas Ă©chĂ©ant, si notre retraitĂ© dĂ©cide de siĂ©ger au Conseil Constitutionnel, dont il est membre de droit, il pourra y gagner 12 000 € bruts de plus par plus avantageux tient, en fait, aux immenses et coĂ»teux avantages en nature un logement de fonction oĂč il peut installer Ă©ventuellement des bureaux Nicolas Sarkozy, dĂ©jĂ  logĂ©, avait affaire plutĂŽt pour des bureaux Ă  15 000 € par mois ; la mise Ă  disposition d'un duo de personnel de service qui peut mĂȘme ĂȘtre augmentĂ©, puisque R. DoziĂšre prĂ©cise que ValĂ©ry Giscard d'Estaing avait demandĂ© et obtenu deux personnes de plus, les deux premiĂšres Ă©tant affectĂ©es surtout Ă  la cuisine. L'ancien PrĂ©sident de la RĂ©publique bĂ©nĂ©ficie aussi de sept collaborateurs qui vont du directeur de cabinet Ă  la simple secrĂ©taire. Bien entendu pour les dĂ©placements, une voiture de fonction avec deux chauffeurs Ă  cause des 35 heures! ainsi qu'une escorte de deux ou trois policiers, sans compter les gendarmes qui surveillent le domicile privĂ© voir plus haut pour la rĂ©alitĂ© des faits!.Pour les dĂ©placements, aĂ©riens ou terrestres, tous les voyages sont gratuits, dans la classe la plus haute comme on l'a vu avec les euros de la rĂ©cente escapade de Carla Ă  New-York pour lui mĂȘme et son conjoint, sur l'ensemble des rĂ©seaux publics dans la meilleure classe » faut-il le rappeler? Pour l'Ă©tranger, logement chez l'ambassadeur de France du lieu Ă  condition toutefois que les dĂ©placements soient opĂ©rĂ©s "dans le cadre de ses fonctions" ce qui pour un retraitĂ©, demeure assez flou » comme le note avec malice R. DosiĂšre. En cas de dĂ©cĂšs, la veuve bĂ©nĂ©ficie d'une pension de rĂ©version et garde une partie des avantages Ă©voquĂ©s plus haut, ces privilĂšges s'Ă©tendant Ă  ses enfants jusqu'Ă  leur majoritĂ©. Ces privilĂšges cessent hĂ©las pour les gĂ©nĂ©rations suivantes!"ArrĂȘtons-nous ici !" comme on chante au deuxiĂšme acte de l'Armide de GluckPrĂ©sident de la RĂ©publique voilĂ  un mĂ©tier dont le rĂ©gime est vraiment "trĂšs spĂ©cial" ! La rĂ©forme annoncĂ©e ne devra pas l'oublier. Billetde blog 16 mai 2012. Moi, PrĂ©sident de la RĂ©publique. Toi, Angela. La pluie, la grĂȘle, la foudre mĂȘme et tous les guerriers du Walhalla rĂ©unis n’auront pas rĂ©ussi Ă  empĂȘcher RĂȘver de pĂšre est trĂšs frĂ©quent. Les hommes comme les femmes rĂȘvent souvent de cette figure essentielle de l’histoire de tout ĂȘtre humain. Il peut s’agir de son propre pĂšre ou d’un pĂšre imaginaire, peu importe ! Dans tous les cas l’image est forte et porteuse de sens profond. COMMENT INTERPRÉTER CE RÊVE ?RĂȘve d’un pĂšre, d’un roi, du PrĂ©sident de la RĂ©publique, toutes ces images renvoient Ă  une lecture Ɠdipienne oĂč le pĂšre reprĂ©sente la rĂšgle, la discipline et l’interdit. Il est aussi question d’affirmation de soi Ă  travers cette image la quĂȘte de l’autonomie pour les fils, l’acceptation de son dĂ©sir propre et l’affirmation de sa puissance pour les filles. Chez le pĂšre reprĂ©sente le surmoi et est symbole de la Loi. La lecture du rĂȘve doit se faire en lien avec la sexualitĂ© du rĂȘveur et ses souvenirs inconscients de la situation Gustav Jung, quant Ă  lui, Ă©voque davantage le prĂ©sent de la personne qui rĂȘve et sa quĂȘte d’autonomie. La transition fils/homme et fille/femme est l’approche Ă©sotĂ©rique, le pĂšre est l’incarnation de Dieu. Ce rĂȘve permettrait de savoir oĂč en est le rĂȘveur par rapport Ă  sa spiritualitĂ©. Enfin, selon l’interprĂ©tation contemporaine de Georges Romey, les images rĂ©elles du pĂšre renvoient simplement au souvenir. Lorsque cette image est travestie sous forme de lion, de cerf, de grand singe
, il faut y voir soit une relation Ɠdipienne, soit une angoisse de castration, soit une reprĂ©sentation de l’autonomie que le rĂȘveur rĂȘve d’acquĂ©rir. RĂȘver d'un pĂšre le sien ou un pĂšre fictionnel ScĂ©nario type Beaucoup d’images de pĂšre sont dĂ©crites dans les rĂȘves. Mais s’il en est une qui revient souvent c’est celle du repas de famille avec le pĂšre en bout de table Ă©dictant sa loi, mais surtout imposant son Ă©nergie au reste du groupe. Cela peut ĂȘtre purement de l’ordre du souvenir comme une mise en scĂšne tout Ă  fait fictionnelle avec un pĂšre qui ne ressemble Ă  rien de ce qu’il fut dans la rĂ©alitĂ©. Variantes du rĂȘve de pĂšre RĂȘver du chef, rĂȘver de repas de famille, rĂȘver de sa mĂšre, rĂȘver d’un sexe masculin en Ă©rection, rĂȘver de devenir pĂšre, rĂȘver du prĂ©sident de la RĂ©publique, rĂȘver de MoĂŻse, rĂȘver de Staline, rĂȘver d’un roi, rĂȘver de Dieu, rĂȘver d’inceste. Signification du rĂȘve d'un ou de son pĂšre InterprĂ©tation freudienne L’approche freudienne se fera surtout en lien avec les souvenirs inconscients de la situation Ɠdipienne. Il s’agit donc d’interprĂ©ter la figure onirique du pĂšre Ă  l’aune de la traversĂ©e Ɠdipienne du rĂȘveur et des enjeux relationnels liĂ©s Ă  celle-ci. Cela rend la lecture de ce type de rĂȘve Ă  la fois dynamique dans la thĂ©rapie mais difficile Ă  interprĂ©ter de maniĂšre simple et directe. Le pĂšre peut aussi reprĂ©senter le surmoi, c’est-Ă -dire la rĂšgle, la morale, la discipline et les interdits. Cela renvoie principalement Ă  la lecture de la sexualitĂ© du rĂȘveur. Le pĂšre est alors un symbole de la Loi. InterprĂ©tation jungienne Le pĂšre est une image archĂ©typique majeure. Elle peut ĂȘtre associĂ©e ou ĂȘtre un dĂ©rivatif de l’image du Grand Sage ou du Soleil. NĂ©anmoins il ne faut pas confondre le pĂšre avec l’image d’un ancĂȘtre. Le pĂšre parle du prĂ©sent du rĂȘveur et de sa quĂȘte d’autonomie. Pour les hommes c’est le passage de la fonction de fils Ă  la fonction d’homme qui est questionnĂ©. Pour les femmes c’est celui de la jeune fille Ă  la femme dans l’acceptation de son dĂ©sir propre et dans l’affirmation de sa puissance. InterprĂ©tation Ă©sotĂ©rique Pour l’approche Ă©sotĂ©rique, le pĂšre est une image de Dieu. Il est vu en fonction des scĂ©narios oniriques soit comme une figure permissive, soit comme un interdicteur. Dans tous les cas l’image du pĂšre dans un rĂȘve indiquera oĂč le rĂȘveur en est de son lien avec la spiritualitĂ©. InterprĂ©tation contemporaine selon Georges Romey Pour Georges Romey les images oniriques du pĂšre sont multiples le lion, le cerf, le grand singe sont des reprĂ©sentations symboliques de la figure paternelle. Pour lui il y a une diffĂ©rence d’interprĂ©tation entre une image directe du pĂšre et une image travestie. Lorsqu’il s’agit du pĂšre rĂ©el, Romey a tendance Ă  interprĂ©ter le rĂȘve comme une simple remĂ©moration. Lorsque le pĂšre apparait sous une autre forme, il distingue trois directions la relation Ă  la situation Ɠdipienne, les angoisses de castration et, enfin l’autonomie que le rĂȘveur est en train d’acquĂ©rir grĂące Ă  une intĂ©gration de son animus valable surtout pour les femmes ou de sa masculinitĂ©. Analyse du rĂȘve de Svetlana, 36 ans - Un repas de famille qui ne manque pas d'air "Toute la famille est rĂ©unie autour de la table dans la salle Ă  manger. C’est la maison de mon enfance mais mon pĂšre est petit et mince alors que dans la vraie vie il est grand et gros. Nous sommes lĂ  pour manger visiblement mais il n’y a rien devant nous. Mon pĂšre doit faire une dĂ©claration importante. Il se lĂšve et se met Ă  pĂ©ter. Tout le monde rit sauf moi. Ca ne valait pas la peine de venir pour cela » dis-je tout haut !" - Svetlana, 36 ans À voir aussi Voici un rĂȘve oĂč la rĂȘveuse semble prendre des distances avec une image de pĂšre peut-ĂȘtre trop sĂ©rieuse ou trop apeurante dans la rĂ©alitĂ©. Ici le pĂšre est devenu petit, il pĂšte au lieu de parler. Il ne vaut plus grand-chose semble-t-il ! L’inconscient de la rĂȘveuse lui envoie un message claire de possibilitĂ© d’indĂ©pendance et d’autonomie ! NommĂ©le samedi 20 aoĂ»t 2022 par le PrĂ©sident de la Transition, le Colonel Mamadi Doumbouya, Aly Seydouba Soumah est le nouveau ministre de l’Énergie et des Hydrocarbures. AgĂ© de 48 ans, le tout nouveau chef du dĂ©partement en charge de l’Énergie et des Hydrocarbures est un technicien chevronnĂ©, un fiscaliste et un analyste financier

En Corse, les assassinats mafieux font redouter une inversion des valeurs. Cela se double d’un effet miroir encourage par certains mĂ©dias dominants parisiens, et une sĂ©rie de Canal+ . Les voyous font rĂȘver Mafiosa. Nous, ils nous font souffrir ! », rĂ©agit Jean-François Bernardini, le leader du groupe I Muvrini qui prĂ©side Ă  Bastia AFC- Umani, l’Association pour la Fondation de Corse, investie dans le puissant antidote qu’est la nonviolence NV. © La comĂ©dienne HĂ©lĂšne FilliĂšre, qui interprĂšte Sandra Paoli dans la sĂ©rie Mafiosa localisĂ©e en Corse - CanalPlus 5e saison dĂ©clare en Une du magazine Corsica n° 167- Ă©tĂ© 2013 Moi, les voyous me font rĂȘver
 ». C'est le monde Ă  l'envers et l'inversion des valeurs. MĂȘlant fiction et rĂ©alitĂ© sans subtilitĂ© ni envergure, elle aligne les clichĂ©s du rapport Ă  la famille, des liens du sang, de la parole donnĂ©e ». Des comportements censĂ©s gouverner le milieu des criminels de Mafiosa. Elle prĂ©cise Eux les voyous, ils vont Ă  la dure, sont capables de tuer leur propre frĂšre, leur meilleur ami, de passer d’un clan Ă  l’autre. » Pourquoi rĂȘver ainsi de voyous dont les synonymes sont d’aprĂšs le dictionnaire Ă©corcheur, Ă©cumeur, carambouilleur, coupe-jarret, crapule, escroc, fripouille, gouape, gredin, incendiaire, malfaiteur, margoulin, nervi, requin, scĂ©lĂ©rat, souteneur, terreur, truand et vaurien » ? © Cet interview publiĂ©, pourtant et hĂ©las, dans un magazine insulaire recĂšle un condensĂ© de l’ensemble des prĂ©jugĂ©s sur la Corse, lesquels prolifĂšrent Ă  longueur d’annĂ©es. La rĂ©alitĂ© insulaire est toute autre. Plus nuancĂ©e, plus complexe, plus paradoxale. Faire rĂȘver L’histoire de la Corse dont le territoire et le biotope sont fragiles et exceptionnels rĂ©vĂšle une longue liste de vĂ©ritables hĂ©ros de la libertĂ© qui, eux, mĂ©ritent de nous faire rĂȘver. Parmi lesquels le grand rĂ©sistant Jean Nicoli et Pasquale Paoli qui fit de la Corse un modĂšle politique pour l’Europe au SiĂšcle des lumiĂšres. En effet, outre l’effet de miroir liĂ© Ă  la criminalitĂ© que pointe l’historien Antoine-Marie Graziani, d’autres forces sont en jeu en Corse. Notamment l’engagement de Jean-François Bernardini, qui organise dans l’üle de nombreuses actions et formations dĂ©diĂ©es au cursus intellectuel et moral d’une nonviolence nv active et consciente. Dont une confĂ©rence internationale en juin 2013 Ă  Bastia, conjointement avec Henri Malosse, prĂ©sident du Conseil Economique et Social EuropĂ©en CESE. © Justice privĂ©e. © Dans son essai La violence dans les campagnes corses du XVIe au XVIIIe siĂšcles Ed. A. Piazzola, 2013, l’historien Antoine-Marie Graziani note Longtemps la question de la violence a Ă©tĂ© traitĂ©e de façon rĂ©ductrice, en la renvoyant au seul phĂ©nomĂšne du banditisme. La lecture romantique de la vendetta Ă  aboutit Ă  la construction d’un banditisme d’honneur » pour touristes et cartes postales, avant de l’ĂȘtre pour les Corses eux-mĂȘmes par un jeu de miroir. La rĂ©alitĂ© est toute autre, surtout si on interroge des pĂ©riodes plus anciennes. » Docteur des UniversitĂ©s de Paris I et de Corse, il a proposĂ© de nouvelles perspectives lors de son intervention Ă  la confĂ©rence Scritti Isulani Ă  Penta-di-Casinca, les 13 et 14 aoĂ»t 2013. Notamment sur les tragiques impacts sociaux dans l’üle, de la terrible justice privĂ©e telle qu’elle fut imaginĂ©e par le RĂ©publique de GĂšnes du XVIe aux XVIIIe siĂšcles. Une recherche qui interpelle la violence contemporaine, politique ou de droit commun ». © Il faut rappeler aussi que, en Corse, la multiplication des des activitĂ©s mafieuses se dĂ©roule dans un contexte d’impunitĂ© due, selon les observateurs, aux nombreuses dĂ©faillances du ministĂšre de l’IntĂ©rieur et du ministĂšre de la Justice dans l’üle. En cause, dit-on, les manques d’effectifs dans les services de la police et les tribunaux. © Les Indiens dans les westerns. Sur l’effet miroir, Jean-François Bernardini s’est montrĂ© percutant aussi lors de sa confĂ©rence Ă  Ile-Rousse U Spazziu-20 aoĂ»t 2013. Les Corses sont diabolisĂ©s dans certains mĂ©dias, comme les Indiens dans les westerns toujours montrĂ©s comme sauvages. De la mĂȘme façon, des idĂ©es fausses sur la Corse s’impriment dans les consciences et crĂ©ent , aussi chez les Corses, une auto-image d’eux-mĂȘmes. Comme un effet miroir qui lance une injonction Deviens comme je te dĂ©finis ! Non, les voyous ne me font pas rĂȘver. Nous, ils nous font souffrir ! » © Librement inspirĂ© de l’action politique nonviolente de Gandhi en Inde et de Martin Luther King aux Etats-Unis, les Ă©quipes de Jean-François Bernardini oeuvrent dans toute la Corse pour la diffusion des principes et mĂ©thodes de la nv. Il s’agit d’un vaste dispositif multiforme composĂ© de techniques codifiĂ©es et Ă©prouvĂ©es que l’on dĂ©couvre en Corse, via des stages, des journĂ©es de sensibilisation et des parcours-expos organisĂ©s dans les entreprises et les Ă©tablissements scolaires. Un succĂšs qui pourrait agir comme un antidote social. DĂ©sormais 2 500 adultes et Ă©lĂšves sont impliquĂ©s dans l’üle dans la rĂ©solution des conflits » et la rĂ©gulation des dĂ©saccords par le dialogue » Soit 1% de la population et, pour AFC-Umani, un budget NV de 100 000 euros de 2011 Ă  2013. Sont prĂ©vues prochainement Ă  Bastia diverses opĂ©rations d’excellence, de type formations de formateurs Ă  la nv ». Une riposte dĂ©stabilisante. La NV est un dispositif qui s’adapte Ă  tous les types de conflits naissants dans la famille, l’école, l’entreprise. Elle fonctionne, dĂšs la premiĂšre parole, comme une riposte dĂ©stabilisante pour les nĂ©ophytes ou ceux qui doutent. Elle n’est pas assimilable Ă  l’indiffĂ©rence ou Ă  la lĂąchetĂ©. Et dans l’univers de la politique, cela ne consiste pas Ă  dĂ©signer une cible » comme l’a si bien fait remarquer Nathalie Kosciusko-Morizet Ă  propos du Front national. La nonviolence, qui n’est pas un pacifisme bĂ©at, ne fait pas non plus le jeu du systĂšme, de l’exclusion, de la stigmatisation, de la criminalitĂ© celle des voyous chers Ă  HelĂšne FilliĂšre qui dĂ©truit le tissu social et les solidaritĂ©s. Quand on se proclame nonviolent, il ne s’agit pas de fermer les yeux mais de faire face. C’est, ajoute Jean-François Bernardini, un combat citoyen qui dĂ©clenche, lors des concerts de I Muvrini, des ovations debout en Allemagne, avec des gens qui en ont les larmes aux yeux». © En Corse perdurent aussi I Paceri-les faiseurs de paix » et ce vieux dicton Mieux vaut mourir que tuer ». Sans doute une rĂ©action de rĂ©silience sociale aprĂšs les exactions commises par la RĂ©publique de GĂšnes et sa justice privĂ©e. La nv est une chance historique pour la Corse. La seule voie pour l’üle de dire sa vĂ©ritĂ©. Un dĂ©fi Ă  la face du monde et pas seulement pour la Corse. Notre Ăźle a-t-elle la volontĂ© de se prendre en mains ? Basta cusi ! Il ne faut pas croire aux miracles. Nous devons ĂȘtre Ă  la hauteur de ce qui nous arrive en terme de corruption, de compromission et de loi du silence. Et on veut des outils pour cela », rĂ©sume le leader de I Muvrini. Pour des raisons Ă©videntes, la nonviolence sera un acte social prioritaire de survie pour l’ensemble des habitants d’une planĂšte, dont les ressources et l’espace vital diminuent. Quant aux criminels qui exĂ©cutent d’autres ĂȘtres humains en Corse et ailleurs dans la vraie vie et pas sur les Ă©crans de Canal Plus, HĂ©lĂšne FilliĂšre devrait poser enfin les bonnes questions. Les voyous » dont elles rĂȘvent sont-ils admirables ou dĂ©gouttants de sang ? Une certaine presse magazine les hisse en couverture, mais ces voyous aident-ils les jeunes Corses Ă  grandir et Ă  devenir des adultes responsables de leurs actes et du devenir de l’üle ? La Corse est-elle victime d’un matraquage mĂ©diatique et d’une contamination via la pensĂ©e unique du racisme anti-corse ? S’agit-il des sĂ©quelles du colonialisme ? Pour Jean-François Bernardini Les voyous Ă©voquĂ©s par Corsica, c’est cela aussi, hĂ©las, le prisme colonial ! Ici mĂȘme la presse en Corse a du mal Ă  imaginer que quelque chose de bien , de salutaire puisse venir de chez nous. Qu’il puisse y avoir ici ,en Corse, des cellules en bonne santĂ© ! Alors je le redis chacun doit faire le travail de transformation intĂ©rieure vers la nonviolence
 » Liliane Vittori

Undirigeant russe responsable d’une ville de la rĂ©gion de Zaporizhzhia occupĂ©e par l’Ukraine a Ă©tĂ© tuĂ© par une voiture piĂ©gĂ©e, quelques jours aprĂšs que la fille d’un important ï»żrĂȘve du PrĂ©sident de la RĂ©publique Bonjour, En une quinzaine de jours, j'ai rĂȘvĂ© 3 fois du PrĂ©sident de la RĂ©publique... En fait, non, je n'ai pas rĂ©ellement rĂȘver de lui mais disons qu'il en faisait partie... Dans mes rĂȘves, le PrĂ©sident de la RĂ©publqie semble ĂȘtre un ami. On se tutoie et je semble ĂȘtre un personnage important pour lui. J'ai le sentiment qu'il a besoin de moi et qu'il me "cire les pompes". Je suis toujours avec lui dans les rĂ©unions publiques Ă  tel point que dans mes rĂȘves je me demande si c'est lui ou moi le PrĂ©sident. L'ambiance de ces rĂȘves est Ă©trange... Plein de gens en costumes cravates... Et une image qui m'a marquĂ© c'est le fait que je sois en voiture avec lui assis Ă  l'arriĂšre biensur, Ă  la place d'Honeur et qu'arrivĂ©s Ă  ce que je prĂ©sume ĂȘtre le Palais de l'Ă©lysĂ©e, il descend, en bras de chemise, pour m'ouvrir la porte afin que je descende du vĂ©hicule ... Il y a plein de monde sur le peron du palais... Le sentiment, mon ressenti est assez glauque de cet si j'avais le "devenir" du PrĂ©sident entre mes mains et qu'il le savait...pas Ă©vident Ă  expliquer ! C'est beau de rĂȘver ! mais lĂ  , je ne comprends pas ! Merci ! Cordialement Pascal45 pascal45 Messages 1Inscription 18 AoĂ» 2008, 1948 par ben » 19 AoĂ» 2008, 0739 peut etre ya t il un rapport avec la rĂ©alitĂ©? Ta relation avec ton patron actuellement? Avec ton pĂšre? Tu as l'impression qu'on prends soin de toi uniquement par intĂ©rĂȘt...? Des pistes Ă  explorĂ©es... ben Messages 31Inscription 14 AoĂ» 2008, 0957 TĂ©moignage pour film par rĂȘveprĂ©sident » 13 Jan 2012, 1605 Bonjour je suis rĂ©alisateur et je fais en ce moment une sĂ©rie de petits films pour Arte qui mettent en images des rĂ©cits de rĂȘves de Français oĂč apparait le prĂ©sident de la RĂ©publique. un exemple ici Accepteriez vous de nous raconter votre rĂȘve? mail president Mathias Thery rĂȘveprĂ©sident Messages 1Inscription 13 Jan 2012, 1602 par Crystal Eye » 14 Jan 2012, 2027 PrĂ©sident de la rĂ©publique symbole de pouvoir => RĂȘver du prĂ©sident ou prĂ©sidente signifie que vous trouvez soudain trop lourde la charge prestigieuse Ă  laquelle votre ambition vous a menĂ©. Apprenez donc Ă  dĂ©lĂ©guer, si vous ne voulez pas ĂȘtre Ă©crasĂ© par les responsabilitĂ©s Ministre Symbole d'autoritĂ© Votre orgueil et votre autoritarisme vous enferment dans la solitude. Descendez de votre piĂ©destal ______________________________________________________________ Etre prĂ©sentĂ©e ou confrontĂ©e Ă  une grande vedette, en principe inaccessible, laisse entrevoir de belles perspectives sentimentales, des performances commerciales, sportives, intellectuelles. Si ce personnage important vous manifeste un intĂ©rĂȘt particulier, inespĂ©rĂ©, c'est qu'un cas de conscience va se prĂ©senter Ă  vous vous aurez Ă  prendre une dĂ©cision difficile, voire douloureuse. Devenir soudain une vedette du spectacle, du sport, de la politique, etc.., trahit une peur profonde de s'engager dans une aventure attirante, excitante, mais qui prĂ©sente des aspects inquiĂ©tants. L'aventure peut ĂȘtre de toute nature. >> Carl Crystal Eye reveur d'Or Messages 21422Inscription 09 AoĂ» 2009, 1236Localisation Arques Re rĂȘve du PrĂ©sident de la RĂ©publique par save-animals » 23 Jan 2014, 1832 Merci Crystal Eye pour ton interprĂ©tation, car elle m'aide en partie Ă  interprĂ©ter mon rĂȘve. save-animals Messages 101Inscription 06 Mai 2009, 0143 Retourner vers Signification des reves Utilisateurs parcourant ce forum Aucun utilisateur enregistrĂ© et 9 invitĂ©s OfficialisĂ©sur l'agenda du prĂ©sident de la RĂ©publique, le dĂ©placement d'Emmanuel Macron Ă  Clermont-Ferrand aura lieu ce vendredi 4 octobre pour venir cĂ©lĂ©brer les 100 ans du quotidien La Tribune libre Ce gouvernement technocratique n’a aucun idĂ©al. Il dirige le pays comme un manager une entreprise, en faisant reposer la pĂ©rennitĂ© de celle-ci sur la rentabilité» Il y a quelques jours, le prĂ©sident de la RĂ©publique appelait les Français au sacrifice au nom de la libertĂ©. Ce 24 aoĂ»t, le chef de l’Etat est allĂ© plus loin, annonçant la fin d’une insouciance, d’une Ă©poque, de l’abondance. En rĂ©sumĂ©, la fin de l’espoir pour les gĂ©nĂ©rations futures. Par ces propos martiaux, le chef de l’Etat cherche surtout Ă  prĂ©parer les esprits Ă  l’échec cuisant de sa politique libĂ©rale, antisociale et menĂ©e avec violence Ă  l’égard des cette injonction Ă  oublier le monde d’avant pour un monde d’aprĂšs, fait de sacrifices et de dĂ©sespoir, Emmanuel Macron rĂ©vĂšle l’anĂ©antissement de la pensĂ©e politique au profit d’une pensĂ©e froide analytique qui, si elle est apte Ă  compter, est inapte Ă  proposer un idĂ©al et des solutions. DerriĂšre cette posture, qu’il souhaiterait ĂȘtre celle d’un homme d’Etat, n’hĂ©sitant pas Ă  utiliser le pays au service de sa gloire et de sa postĂ©ritĂ©, demeure un comportement dangereux pour la nation et l’esprit mĂȘme des Français. La nation, disait Renan, ce sont des ĂȘtres diffĂ©rents conduits vers un mĂȘme idĂ©al. Dans la France macroniste, l’idĂ©al n’a plus de en mars 2020, le chef de l’Etat, face Ă  une Ă©pidĂ©mie qu’il avait appelĂ© une guerre, avait exhortĂ© les Français Ă  la peur. Aujourd’hui, il les enjoint de nouveau Ă  craindre l’avenir. Jamais, durant ces deux annĂ©es, Emmanuel Macron n’a appelĂ© au courage des Français, comme le firent ceux dont il semble rĂȘver le destin Winston Churchill, le gĂ©nĂ©ral de Gaulle
 Pourquoi ?SujĂ©tion. Parce qu’à la diffĂ©rence des grands hommes qui conduisirent la France plongĂ©e dans de grands tourments, ce gouvernement technocratique n’a aucun idĂ©al. Il dirige le pays comme un manager une entreprise, en faisant reposer la pĂ©rennitĂ© de celle-ci sur la rentabilitĂ©. Sans jamais se soucier du long terme, sans jamais se poser la question de la condition y a quelques jours, Olivier Dussopt, ministre du Travail, enterrait la sociale dĂ©mocratie, appelant au progressisme, soit la sujĂ©tion de l’homme aux ambitions Ă©conomiques du pays. Aujourd’hui, le chef de l’Etat appelle Ă  enterrer la France, Ă  oublier le modĂšle dĂ©mocratique au profit du pragmatisme, l’idĂ©al humaniste au profit de la gestion comptable du pays. Devant l’échec de sa politique sur un plan diplomatique, Ă©conomique, social, Emmanuel Macron accusait hier l’Europe. Aujourd’hui, il accuse le climat mondial » Ces propos sont-ils audibles de la part d’un prĂ©sident de la RĂ©publique garant des institutions et, de fait, d’un modĂšle rĂ©publicain construit depuis des dĂ©cennies par la volontĂ© des propos sont-ils dignes de la part d’un homme qui se voudrait d’Etat ou d’un homme qui se rĂȘve politique ? Quel est le but de tous ces discours belliqueux Ă  l’égard des pays Ă©trangers, des affronts aux dirigeants d’Afrique ? Quel avenir offrir Ă  la France dans un monde oĂč notre modĂšle dĂ©mocratique subit depuis cinq ans les attaques incessantes de ceux censĂ©s le dĂ©fendre ?Excuses. Les Français ne veulent pas s’isoler sur la scĂšne internationale. Les Français ne veulent pas de cette guerre Ă  laquelle le prĂ©sident de la RĂ©publique semble rĂȘver le matin en se rasant, allant jusqu’à supprimer, en plein chaos international, le corps diplomatique, une fiertĂ© nationale, qui est la seule clef viable d’une nĂ©gociation entre Français ne veulent pas d’un pays administrĂ© le plus souvent contre leurs intĂ©rĂȘts, mais rĂȘvent d’une nation l’échec de sa politique sur un plan diplomatique, Ă©conomique, social, Emmanuel Macron accusait hier l’Europe. Aujourd’hui, il accuse le climat mondial. Au final, derriĂšre toutes ces excuses ne demeure qu’une seule rĂ©alitĂ© aprĂšs avoir entachĂ© la souverainetĂ© de la France, le prĂ©sident de la RĂ©publique enterre un modĂšle qui fut la lumiĂšre de l’Europe durant des siĂšcles, relĂ©guant les discours francophiles Ă  des postures Emmanuel Macron tente de nous faire croire qu’aimer la France, c’est ĂȘtre dĂ©connectĂ© des enjeux du monde parce que dans ce monde globalisĂ©, lui et son gouvernement ont Ă©tĂ© incapables de dĂ©fendre le modĂšle français. Aimer la France, ce n’est pas haĂŻr l’autre. Aimer la France, c’est la rĂȘver prestigieuse dans la grande marche du monde et certainement pas demander Ă  son peuple de la sacrifier au profit d’un nouvel ordre mondial qui serait Houpert est sĂ©nateur LR de la CĂŽte-d’Or, membre de la commission des affaires Ă©trangĂšres, de la dĂ©fense et des forces armĂ©es.
\n rever du president de la republique

Lesjeunes garçons rĂȘvent souvent d’ĂȘtre astronaute, pompier, footballeur, voire super-hĂ©ros. Akram Boutarek, 12 ans, lui, ne rĂȘve que d’une chose : devenir prĂ©sident de la RĂ©publique.

Aliou Sow rĂȘve d’ĂȘtre le cinquiĂšme prĂ©sident du SĂ©nĂ©gal
 Alioune Sow a de folles ambitions depuis la fin du rĂ©gime de Wade. Selon le magazine Exclusif repris par Leral, l’ancien jeune loup du Parti dĂ©mocratique sĂ©nĂ©galais rĂȘve d’ĂȘtre prĂ©sident de la RĂ©publique. Mon programme est de prendre le pouvoir dĂšs 2022 quand thĂ©oriquement le rĂšgne de Macky Sall va finir. Mais pourquoi pas dĂšs 2017 », souligne inlassablement Sow Ă  ses diffĂ©rents visiteurs. Sur le nouveau prĂ©sident qui a Ă©tĂ© son compagnon de lutte pendant quelques mois, avant qu’il ne la quitte, il est trĂšs prudent. affaire_de_malade NewsLetters de Seneweb Le meilleur de sĂ©lectionnĂ© par la rĂ©daction

RĂȘverde prĂ©sident : Le PrĂ©sident ou le Chef de l’Etat est avant tout une personne de haute autoritĂ© qui symbolise la nation. DĂ©couvrez la signification de rĂȘver de prĂ©sident Dans le

RĂ©servĂ© aux abonnĂ©s PubliĂ© le 26/05/2021 Ă  2003, Mis Ă  jour le 26/05/2021 Ă  2003 Éric Zemmour. Jean-Christophe MARMARA/Le Figaro CHRONIQUE - Les ambitions politiques de notre plus grand poĂšte national racontĂ©es avec finesse par Bruno Fuligni. Et un recueil de ses meilleurs discours Ă  faire pĂąlir nos orateurs d’aujourd’hui. Dans son beau livre, La Promesse de l’aube, Romain Gary raconte que sa mĂšre, une Russe rĂȘvant de la France, disait sans cesse Ă  son fils adorĂ© Il faut aller vivre en France, le pays oĂč Victor Hugo est prĂ©sident de la RĂ©publique.»Madame Gary mĂšre se trompait mais avait tout devinĂ©. Pendant trente ans, Victor Hugo rĂȘva de l’ÉlysĂ©e.» Ainsi s’ouvre l’ouvrage de Bruno Fuligni. Le texte est bref, mais dense, avec un style nerveux, Ă©maillĂ© de formules brillantes. Notre historien aborde un pan de l’existence du grand poĂšte nĂ©gligĂ© par ses biographes son ambition politique. On sait qu’Hugo fut toujours passionnĂ© de politique et qu’il fut pair du royaume sous Louis-Philippe. On ignore cependant qu’il fut deux fois candidat Ă  l’élection prĂ©sidentielle ; mais en 1848, il se dĂ©siste en faveur de Louis NapolĂ©on Bonaparte ; et en 1852, la prĂ©sidentielle n’aura pas lieu NapolĂ©on III avait, un an plus tĂŽt, rĂ©glĂ© la question de sa réélection interdite par un coup d’État lire aussiJean-François Kahn Victor Hugo ne se reconnaĂźtrait pas dans l’Europe d’aujourd’hui»Lorsque la direction
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